Il y a un souvenir et la nuit,
il faut être bien en traversant
tous les vers des voie
toutes les pages vieillies.
Dans un tiroir encombré,
sur le sommet d’un toit,
au bord d’un blanc lac glacé,
au long d’un surface effacée
où restent les mots détournés,
nous sommes voyages.
Il y a la prochaine fois,
les nouveaux rêves et les vieux,
l’être coscient des nuages,
des vents qui bougent la bruyère,
du moulin qui reste en attente
d’un graine de vie et de lumière.
(Tu sais, lorsque il pleut, la pluie elle tombe et nous, nous on tombe avec elle)