Il y a un port au nord.
entoure la mer orageuse,
les vagues battent
vers la Lune,
contre le promontoire,
des murs de pierre
aux toits de chaume.
Depuis des fils fins
des vêtements secs,
les draps bleu nuit
ils attrapent le vent.
Toute amertume
fond légèrement,
dans le sillage
lissé par les désirs.
Depuis le train
on vois les rivages
le village drapé
d’un coup d’espoir.
(Le verre tombe, il fracasse l’air sans se casser, la lumière s’épuise !)
Poesia che si trasforma in immagine ed sentimenti. Stupenda.
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