Le vent, il port
les navires aux raides.
Toi, tu, sortes
pour une longue marche
sur un pont de bois et retour.
L’odeur de l’oublieance
parmi les nuages
retrouve sa forme d’oiseau.
Le bruit des gens,
il devient, il vient là où
le sommeille est plus loin,
où la poussière se pose
d’où partent les jeunes en guerre.
Et si je bois
un verre de vin, comme j’ai déjà
bu mes vingts ans,
j’aurais tout vu
sans rien comprendre.
Il y a une maison de verre
et là se cache le silence
là on peut se voir
pendant les souffles de vie,
lorsque tout est proche,
et nous, nous sommes arrêtés
chacun avec les yeux fermés,
dans les bras de l’autre.
Tout tourne et rien acquiesce.
(Il faut embrasser l’air doux et aimer le temps entre fin et début !)