Dis-moi quand on sera vieux,
tu verras encore au parc avec moi
à écouter le ronronnement fou
au milieu des accablements flou
des chats du quartier et des filles.
On sera tous comme sur una île,
il y aura la mer des gens autour
et nous nous retrouvons
et les vagues seront caresses
lorsque une langueur se répandra.
(Il foudrait d’être un instant de chaleur épanouissant que une infinie froidure.)